Page 149 - Catalogue
P. 149

Philosophie
Lettres philosophiques adressées à un Berlinois
243p.—13,5x21,6cm.— 2011
ISBN 978-2-36441-003-9 Code SODIS F 398015 19,00 e
Collection Corpus
350p.—13,5x21,6cm.— 2011
ISBN 978-2-36441-002-2 Code SODIS F 398044 22,00 e
Collection Corpus
Eugène Lerminier
Qu’est-ce que telle philosophie a apporté de nouveau pour le progrès de l’Humanité ? Telle est la question que Lerminier, pose à toutes les doctrines de son temps. En France, il se fait l’écho de l’interrogation de Hegel : « Pourquoi les Français sont-ils passés immédiatement du théorique au pratique, alors que les Allemands en restent à l’abstraction théorique ? »
Annonçant le règne de la liberté et l’alliance de la République et du libéralisme, il revendique de travailler à une philosophie nationale qui rende aussi possible une science du droit.
RÉÉDITION D’UN TEXTE DE 1832
Recherches philosophiques sur les premiers objets des connaissances morales
Louis de Bonald
Louis de Bonald, dans cet ouvrage, s’attache à mettre en avant ce que « depuis près de trois mille ans [...] les hommes cherchent par les seules lumières de la raison » ainsi que ce qui conditionne cette même recherche. L’investigation de Bonald – qui est une confrontation des différents systèmes philosophiques – est donc double : elle passe par le recensement des dits « objets des connaissances morales » et par l’exposition des dimensions dans lesquelles l’homme déploie son rapport au monde, ces mêmes dimensions qui vont structurer les connaissances de l’homme.
RÉÉDITION D’UN TEXTE DE 1818
Discours de l’amitié et de la haine qui se trouvent entre les animaux
Marin Cureau de la Chambre
Ce livre (1667), écrit par un médecin philosophe, n’étudie plus les animaux par rapport à l’homme, mais les relations que les animaux sont susceptibles d’avoir entre eux. C’est à partir de l’observation de leurs comportements manifestes que l’auteur conclut que les animaux ont des sentiments et sont capables de les exprimer. Il en analyse les causes et les effets et fait l’hypothèse qu’il y a des sociétés animales. Cet ouvrage s’inscrit dans la vaste question de l’âme des Bêtes qui a passionné les XVIIe et XVIIIe siècles après le fameux philosophème cartésien des « animaux-machines ».
150p.—13,5x21,6cm.— 2011
ISBN 978-2-915611-85-4 Code SODIS F 229869 18,00 e
Collection Corpus
149


































































































   147   148   149   150   151